TUER N'EST PAS JOUER - 1986

Titre VF TUER N'EST PAS JOUER
Titre VO The living daylights
Année de réalisation 1986
Nationalité Etats-Unis
Durée 2h10
Genre ESPIONNAGE
Notation 13
Date de sortie en France 16/09/1987
Thème(s)
Bond (James)
Espionnage (Cinéma américain)
Grande Roue (tous pays confondus)
Réalisateur(s)
GLEN John
Chef(s) Opérateur(s)
MILLS Alec
Musique
BARRY John
Renseignements complémentaires
Scénario : Richard Maibaum
et Michael G. Wilson .....
d'après l'oeuvre de Ian Fleming
Générique : Maurice Binder
Distribution : M.G.M. / U.A.

Visa d'exploitation : 66 187
Acteurs
DALTON Timothy
D'ABO Maryam
KRABBE Jeroen
BAKER Joe Don
MALIK Art
RHYS-DAVIES John
WISNIEWSKI Andreas
WHEATLEY Thomas
LLEWELYN Desmond
BROWN Robert
BLISS Caroline
KEEN Geoffrey
GOTELL Walter
TERRY John
WALLACE Julie T.
BOWE John
SAWALHA Nadim
ARNETT James M.
CRANE Simon
WESTON Paul
HEY Virginia
RABETT Catherine
LIECIER Dulice
HOXBY Scott
TALBOT Alan
RIGG Carl
CYRUS Tony
ATIK Mohamed
MOOR Michael
KHAN Sumar
SHARROCK Ken
AVERY Belle
PORTEOUS Peter
CARRICK Antony
WARDER Frederick
BAKER Glyn
WESTON Bill
CUBISON Richard
WINTER Heinz
FRENCH Leslie
BENATAR Odette
CASALE Dianna
DEVLIN Sharon
GARDINER Femi
KEEFER Patricia
RODRIGUEZ Ruddy
SANCHEZ Maite
SAVANNAH Cela
SEEBERG Karen
WALSH Waris
WILLIAMS Karen
BARRY John
ALON Roy
BAKER Del
DENT Steve
BOWES Brian
CASARES Jorge
CROWTHER Graeme
FORD Elaine
GILLARD Nick
JULIENNE Rémy
HOUBART Jean-Claude
JULIENNE Dominique
PEDREGOSA Miguel
ROBINSON Doug
SERRANO José Maria
WILKINSON Nick
WORTH B. J.
DELMAR Tom
HARRIS Alan
Résumé

L'efficace agent britannique James Bond 007 est chargé d'organiser la fuite de l'Est d'un important dignitaire soviétique, le général Koskov. Bien vite, ce personnage trouble s'avère être un agent double voire triple qui menace la paix mondiale en fricotant avec un inquiétant trafiquant d'armes mégalomane. Mais l'élite des Services Secrets de Sa Gracieuse Majesté veille, aidée par une jolie violoniste mélomane.

>>> Seizième adaptation des romans d'espionnage écrits par Ian Fleming, un film sympathique dans son délassement et ses gadgets, malgré moult invraisemblances.

Bibliographie
- Cahiers du Cinéma numéro 400
- Fiche de Monsieur Cinéma
- Positif numéro 321
Critiques (Public)
"Tuer n'est pas jouer" est un des meilleurs Bond qu'il y ait depuis bien longtemps. John Glen nous prouve que Bond peut-être autre chose que ce qu'il a été du temps de Moore. Ce film a quelque chose de "Bons baisers de Russie" ce n'est donc pas étonnant que les bondophiles aient apprécié. De plus le scénario est vraiment très élaboré, chose plus que rare ces derniers temps. Les scènes d'action sont beaucoup mieux réglées et beaucoup plus imaginatives que dans "A view to a kill" ...... .Cette fois James Bond est vraiment de retour.............SPECTRE......

Vraiment un des meilleurs Bond. Fini la période moorienne. Après la déception du poussif "Dangereusement vôtre", James Bond trouve enfin son nouveau souffle. J'espère que "Permis de tuer" sera à la hauteur de celui-là ...... Bond est enfin de retour ...... .............BLOFELD........

Après la période intermédiaire à la Moore, les amateurs, les vrais, retrouveront enfin un héros à sa juste mesure. La première prestation de T.D. ne pouvait que laisser augurer une suite, qui je l'espère restera dans le bon chemin... Ernst Stavro Blofeld (27/11/88)

On reste sceptique, après l'avoir vu. Pourquoi tant de longueurs, comme le discours de Koskov dans le manoir ou la visite à Vienne ..... Pourquoi des méchants si drôles ? Restent Dalton, très bon et Andreas Wisniewski, impressionnant dans ce rôle de tueur plus ou moins pédophile .... Dommage, qu'il n'ait pas fait carrière
.
N'est-il pas surprenant qu'après 25 ans de bons et loyaux services Bond offre un spectacle d'une aussi grande qualité ? Pour une fois les cascades ne sont pas parachutées au milieu de l'histoire et surtout Bond se montre sous un aspect humain.Il a le droit de tuer, mais n'aime pas tuer de sang-froid., uniquement en état de légitime défense...... Bien sûr il y a des défauts: la chanson, le manque de souffle de la période afghane du film, et le manque d'humour de Timothy Dalton, mais la Bond girl n'est plus une plante en pot et le tueur une orange mécanique à la sauce rock livrant avec Bond un duel dans les airs ...... Et c'est superbement filmé ....

« Tuer n'est pas jouer » : le meilleur Bond de ces 15 dernières années. Finis les jeux de mots vaseux de Moore. L'obsession du spectaculaire s'est atténuée au profit des sentiments surtout. Surtout la Bond girl est autre chose qu'un tas de belle chair. Malgré quelques défauts (la baston accrochée au filet à plusieurs 100aines de mètres est d'un classique soporifique et surtout le prégénérique le moins surprenant de la série) ce Bond laisse augurer que la série a retrouvé un petit renouveau ....... Moore est mort. Longue vie à Dalton. (E. MARIN 25/06/88)