Anne Gauthier et Jean-Louis Duroc se rencontrent à Deauville lors de leur visite respective à leurs enfants en pension dans un foyer aisé. Chacun se sent fortement attiré vers l'autre, même si la passion ne s'exprime pas avec autant de spontanéité et de douce violence que le présupposaient les désirs sous-jacents des deux protagonistes.
>>> La musique du film est archi-connue et déblatère toujours encore sa sirupeuse mélopée sur les ondes. Une brillante "leloucherie", symbole de toute une époque...
Bibliographie
- Avant-Scène numéro 65
- Télérama numéro 859
- Cinéma et Télé-Cinéma numéro 335
- Cahiers du Cinéma numéro 190
- Image et Son numéro 196
- Télé-Ciné numéro 129
- Cahiers du Cinéma numéro 179/180
- Fiche de Monsieur Cinéma
Critiques (Public)
Un film vertigineux... une poésie kilométrique, comme la pellicule inutile. Bref la nausée...
Et dire que cette année, pour les Oscars du Meilleur Film en Langue Etrangère, étaient en compétition "La bataille d'Alger" de Pontecorvo et "Pharaon" de Kawalerowicz (entre autres) Il a fallu que soit primé cette merde sans nom, signée Lelouch...