JE RENTRE A LA MAISON - 2001

Titre VF JE RENTRE A LA MAISON
Titre VO
Année de réalisation 2001
Nationalité France
Durée 1h30
Genre COMEDIE DRAMATIQUE
Notation 13
Date de sortie en France 12/09/2001
Thème(s)
Milieu du théâtre (Cinéma français)
Tour Eiffel (tous pays confondus)
Shakespeare (William)
Ionesco (Eugène)
Réalisateur(s)
DE OLIVEIRA Manoel
Chef(s) Opérateur(s)
LANCELIN Sabine
Musique
Renseignements complémentaires
Scénario : Jacques Parsi
et Manoel de Oliveira .....
Montage : Valérie Loiseleux
Distribution : Gémini Films
Produit par Paulo Branco

Visa d'exploitation : 99 956
Acteurs
PICCOLI Michel
DENEUVE Catherine
MALKOVICH John
CHAPPEY Antoine
BALDAQUE Leonor
SILVEIRA Leonor
TREPA Ricardo
ARNOLD Jean-Michel
DE VAN Adrien
TESTUD Sylvie
RUTH Isabel
WALE Andrew
DAUNEY Robert
KOELTGEN Jean
PARSI Jacques
GOURDON Mauricette
MONOD Armel
VANIA
CHICOT Jean
AMERI Christian
GUILLOT Bruno
HORVAIS Jean-Luc
SANCHEZ Bernard
GUERAUD Nathalie
TREMBLOY Catherine
MADAME DUTEIL
HIRIDJEE Vina
FEVRE Emmanuelle
LAVALLEE Caroline
BOZONNET Marcel
MANGIN Philippe
Résumé

A la fin d'une représentation de théâtre, le célèbre comédien Gilbert Valence apprend par son agent et ami Georges, le décès accidentel de sa femme, de sa fille et de son beau-fils. Mais la vie continue, oscillant entre solitude tranquillement assumée, complicité avec son petit-fils, flâneries parisiennes, répétitions...

>>> Oeuvre intéressante sur le thème de la vieillesse, de la mort et de la fatigue de vivre, qui n'est toutefois pas le chef-d'oeuvre que certains "pertinents" intellectuels de gauche (forcément) semblent avoir furieusement décelé, face à notre aveuglement...

Bibliographie
- Fiche de Monsieur Cinéma
- Positif numéros 485/486
- Annuel du Cinéma 2002
- Positif numéro 487
- Cahiers du Cinéma numéro 560
- Positif H.S mai 2007
Critiques (Public)
15/20 : Un défaut qui peut décourager tout de suite, mais c'est souvent la faille de Manoel de Oliveira : long, notamment les tirades théâtrales (qu'on peut abréger en dvd), baîllez donc un peu, mais ne décrochez pas car le texte déclamé, les ombres en coulisse, amènent une descente en flèche. A la réflexion, un ensemble assez grandiose que ce paradoxe entre le jeu de comédien sur la vie et la mort et un TRIPLE deuil "pour de vrai" d'un seul coup d'un seul... De quoi faire une apoplexie... Donc, après une demi-heure, c'est beaucoup mieux avec Piccoli s'efforçant de s'habituer, et tout cela sans un flash-back sur les disparus... Beaucoup aimé les petites scènes, grand-père et petit-fils téléguidant leurs bolides, solitaires à place préférée au café parisien, les chaussures neuves pour rester debout, avec l'insistance de la caméra sur le pied droit et sa chaussure flambant neuf puis, plus tard, ces vieilles pompes noires d'avant.. Autre aspect instructif de ce film : les coulisses du grand ou du petit écran, tous ces rôles ingrats à apprendre dare-dare, là aussi on est donc "aux pièces" (exigence du metteur en scène joué par Malkovitch, intervenant mécaniquement, au mot près) un rappel que le métier d'acteur comporte les mêmes écueils que le business ! L.Ventriloque