LA PLANETE BLEUE - 2003

Titre VF LA PLANETE BLEUE
Titre VO Deep blue
Année de réalisation 2003
Nationalité Grande-Bretagne
Durée 1h32
Genre DOCUMENTAIRE
Notation 14
Date de sortie en France 04/02/2004
Thème(s)
Sous l'eau .....
Orques et baleines (tous pays confondus)
Dauphins (tous pays confondus)
Cinéma britannique (ORIGINE)
Documentaires (Cinéma britannique)
Poissons
Méduses (tous pays confondus)
Réalisateur(s)
FOTHERGILL Alastair BYATT Andy
Chef(s) Opérateur(s)
ALLAN Doug SCONES Peter ROSENTHAL Rick
Musique
FENTON George
Renseignements complémentaires
Scénario : Alastair Fothergill
et Andy Byatt .....
Narration : Jacques Perrin
Distribution : Bac Films

Visa d'exploitation : 109 146
Acteurs
PERRIN Jacques
Résumé

Cinq ans de tournage, sur plus de deux cents sites, avec pas moins d'une vingtaine de cameramen, pour nous ramener de splendides images sur l'incroyable beauté de nos fonds marins, avec une faune souvent inconnue et rare. Que ce soient les mystérieux poissons lumineux des abysses, l'harmonieux ballets des méduses, la voracité acharnée des orques, l'indolent ballet des manchots ou la fulgurance élancée des dauphins, l'ensemble est un ravissement pour les yeux et une indéniable source de connaissance, gâchée par un insupportable support musical, pompeux et pompier...

>>> A parier, ce genre de documentaire, avec les dramatiques échéances écologiques qui nous guettent, va fleurir désormais sur nos écrans. Message certes précieux et dénonciateur, mais peut-être déjà vain et inutile...

Bibliographie
- Fiche de Monsieur Cinéma
- Annuel du Cinéma 2005
Critiques (Public)
17/20 : dans le genre, c'est à ce jour ce que j'ai vu de plus saisissant, et tout n'est pas forcément alarmiste, quantités d'espèces resteraient toujours à découvrir (le tout est de croire ou non à ce qui est raconté, ça ne se commande pas)... Disons que, tant pis pour les perfectionnistes, les froussards (?), s'ils s'ingénient à prendre pour des faussaires les intrépides se risquant à ce genre d'exercice à l'heure où la Terre a une petite fièvre, qu'ils aillent faire le planton avec leurs caméras et leurs micros devant ces paysages, qu'ils descendent donc eux-mêmes dans les abysses, qu'ils trouvent les meilleurs commentaires et les musiques les plus appropriées ! Pour ma part, je reste baba face à cette actualité-là, admirative des auteurs de la démarche, indulgente sur les à-côtés, encore plus quand je me dis que ça se passe simultanément à notre petit passage d'humains un rien somnambules, toutes ces merveilles et toutes ces horreurs... Il semblerait que la notion de territorialité reste un trait commun entre l'homme et l'animal, quelle que soit l'époque. La v.o. anglaise m'a à la fois éblouie et terrifiée (les orques d'entrée de jeu, par exemple, et aussi cette caméra au fond de la mer, noirceur et bestioles translucides multicolores, brrrrrrrr !!!). L.Ventriloque