LE CONVOI DE LA PEUR - 1977

Titre VF LE CONVOI DE LA PEUR
Titre VO Sorcerer
Autres titre VO Wages of fear
Année de réalisation 1977
Nationalité Etats-Unis
Durée 2h00
Genre DRAME
Notation 11
Date de sortie en France 15/11/1978
Thème(s)
Camions et camionnettes (tous pays confondus)
Remakes américains de films français
Pétrole
Jeux (bingo) (tous pays confondus)
Réalisateur(s)
FRIEDKIN William
Chef(s) Opérateur(s)
BUSH Dick STEPHENS John M.
Musique
TANGERINE DREAM
Renseignements complémentaires
Scénario : Wallon Green
d'après le roman de Georges Arnaud .....
Produit par William Friedkin
Distribution : CIC

Visa d'exploitation : 49 505

Nota : remake du film de Henri-Georges Clouzot : "Le salaire de la peur" (1952)
Acteurs
SCHEIDER Roy
CREMER Bruno
RABAL Francisco
AMIDOU
BIERI Ramon
CAPELL Peter
JOHN Karl
VON LEDEBUR Friedrich
MARTINEZ Chico
SPINELL Joe
HOLLEY Richard
ALMONTES Rosario
FRANCOIS Jacques
DESCHODT Anne-Marie
FALCON André
BIDEAU Jean-Luc
MURPHY Gerard
CROFTON Desmond
DIAMOND Henry
DITTRICH Ray
GIO Frank
JURGENSEN Randy
ALLEGRETTI Gus
Résumé

Pour échapper à leur sordide emploi, dans une lugubre raffinerie de pétrole, au fin fond de l'Amérique du Sud, trois hommes, qui ont quitté leur pays, pour avoir eu affaire à la justice, acceptent le dangereux contrat de conduire un camion chargé de nitroglycérine, à travers les embûches de la jungle. Victor Manson, un banquier véreux, Scanlon, un escroc new-yorkais et Kassem un terroriste arabe, vont entreprendre un démentiel périple duquel finalement personne ne réchappera...

>>> Un remake honnête, réactualisé, qui ne reste pas inoubliable...

Bibliographie
- Fiche de Monsieur Cinéma
Critiques (Public)
Sans doute par comparaison avec l'impression de forte intensité qui me reste de la première version (LE SALAIRE DE LA PEUR, 1953, 141mn), j'ai trouvé la mise en place de ce remake un peu "longuette" (presqu'une heure). En tout cas, une fois la nitro dans les camions, c'est tout aussi fascinant (la traversée du pont suspendu notamment est une pure dinguerie dont on prend toute la mesure en s'informant sur les conditions de réalisation de la scène). Il y a peut-être même en plus un côté hallucinatoire (les paysages "cappadociens" de la fin) et mystérieux (l'étrange intérêt pour la femme du bar) ; est-ce dans le roman ou un apport de Friedkin ?