LES MARX AU GRAND MAGASIN - 1941

Titre VF LES MARX AU GRAND MAGASIN
Titre VO The big store
Année de réalisation 1941
Nationalité Etats-Unis
Durée 1h23
Genre BURLESQUE
Notation 14
Date de sortie en France 16/09/1949
Thème(s)
Burlesques (Cinéma américain) longs métrages
Détectives privés (Cinéma américain)
Grands magasins et supermarchés (tous pays confondus)
Patins, planches à roulettes et autres skate-boards .....
Ascenseurs et monte-charges
Réalisateur(s)
REISNER Charles
Chef(s) Opérateur(s)
LAWTON Charles (junior)
Musique
STOLL George E.
Renseignements complémentaires
Scénario : Sid Kuller,
Hall Fimberg et Ray Golden .....
d'après un sujet original de Nat Perrin
Distribution : MGM

Visa d'exploitation : 8347
Acteurs
MARX Groucho
MARX Harpo
MARX Chico
DUMBRILLE Douglass
DUMONT Margaret
MARTIN Tony
GREY Virginia
TANNEN William
MARTIN Marion
O'BRIEN Virginia
ARMETTA Henry
DEMETRIO Anna
STANTON Paul
HICKS Russell
PAGE Bradley
HOLLAND Charles
LANE Charles
RUB Christian
KOHLMAR Lee
MAC WADE Edward
YULE Joe
MAC DANIEL Etta
PERRY Bob
HILL Al
LLOYD George
PHELPS Lee
DEARING Edgar
CHANDLER Eddy
LE SEVER Hall
DUGGAN Jan
POTEL Vic
BRADLEY Harry C.
LEWIS Mitchell
ROBINSON Dewey
NEWELL William
KIBBEE Milton
BLANDICK Clara
DESLYS Kay
HUDSON Howard
DEGEN Vince
Résumé

Martha Phelps, la riche propriétaire des grands magasins du même nom, a l'intention de léguer sa fortune à son neveu Tommy Rogers. Des gens mal intentionnés voulant le tuer, commandités par le retors gérant de l'établissement, sa tante décide de le faire protéger par un détective privé Wolf J.Flywheel et son assistant Wacky. Voilà nos deux pandores en pleine enquête, musant et furetant entre les rayons et les clients...

>>> Dernier film interprété par les fameux Marx Brothers pour la M.G.M. qui se présente comme une oeuvre moyenne, comportant tout de même quelques gags géniaux...

Bibliographie
- Fiche de Monsieur Cinéma
Critiques (Public)
On regarde LE GRAND MAGASIN et nous saisit la nostalgie des premiers Marx. On en est loin du moins, s'éloigne-t-on inexorablement de l'insolence et de la fraîcheur (de la verdeur) des premiers. Ici, Marion Martin, de passage, se permet même de traiter la petite bande de "crétins" et d'"idiots" ("silly" mot qui a une connotation de ridicule) à juste titre. Le film ronronne doucement (et pour la première fois, je crois, les Marx ne sont plus le sujet principal du film mais seulement les animateurs d'accompagnement au même titre que les chansons) pour n'exploser enfin ! que dans l'apothéose finale de la course-poursuite.  (ELIE ELIE)