• LA VOIX HUMAINE (1989)
  Critique CF

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  Une nouvelle version du chef-d'oeuvre de Roberto Rossellini qui n'a rien à envier à son original.
• RIEN NE SERT DE MOURIR (1986)
  Critique CF

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  Action, fantastique, karaté, aventure, un mélange bizarroïde sous forme de comédie inconsistante.
• PARAMOUNT EN PARADE (1930)
  Critique CF

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  Un brillant Maurice Chevalier notamment. Sans oublier l'interprétation de Miss Chattertone.
• PETITE MUSIQUE DE NUIT (1977)
  Critique CF

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  Tourné en Autriche, avec comme haute référence le célèbre film d'Ingmar Bergman : "Sourires d'une nuit d'été" dont il utilise la thématique (trois couples se font et se défont dans la Vienne du siècle dernier), l'oeuvre ne mérite absolument aucune considération. La réalisation frise souvent le grotesque et la direction des acteurs, est parfaitement ratée.
• ALL THE RIGHT NOISES (1969)
  Critique CF

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  Malgré un sens de l'observation et des situations fort pertinentes amenant tout de même à un traitement de clichés, cela se regarde comme un feuilleton télévisé, un peu plus élaboré. Un bon canevas de base, une direction d'acteurs disciplinée et une certaine crédibilité, tout de même.
• NOYADE INTERDITE (1987)
  Critique CF

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  Note : 7/20

  Toujours le même problème avec les films de Pierre Granier-Deferre : une évidente personnalité, un métier, un savoir-faire indéniable, une authentique honnêteté et pourtant, il manque toujours ce quelque chose qui rendrait l'œuvre inoubliable.
• CROSS (1986)
  Critique CF

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  Premier film d'un scénariste original qui pour ses balbutiements derrière la caméra en tant que metteur en scène, désespère le spectateur le plus indulgent. Il est vrai que la présence du chanteur Sardou n'arrange rien.
• A.K. (1984)
  Critique CF

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  Œuvre de qualité, qui évite la facilité laudatrice et la bande-annonce publicitaire.
• GROS DÉGUEULASSE (1985)
  Critique CF

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  Note : 7/20

  Directement inspiré du célèbre personnage de Reiser, ce film marque le degré zéro de l'adaptation d'une bande dessinée au cinéma. Le réalisateur s'est contenté d'un bout à bout des planches de l'album sans jamais transformer un seul mot du dialogue.
• SEPT FOIS FEMME (1967)
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  Sketches souvent ennuyeux, pauvres et rarement surprenants.
• LA FEMME FARDEE (1990)
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  Bien malheureuse adaptation du roman de Françoise Sagan qu'une brillante distribution ne parvient pas à sauver d'un affligeant ennui et d'une sinistre lourdeur.
• QUATRE BASSETS POUR UN DANOIS (1965)
  Critique CF

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  Le ridicule et la niaiserie sont hélas au rendez-vous.
• DREAM A LITTLE DREAM (1988)
  Critique CF

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  Note : 6/20

  A peine deux ou trois films abordent le thème du "changement de corps" que les publicistes de tous poils, créent un sous-genre, pompeusement nommé "body-switsch" ..... C'est aussi, vous l'avez deviné, le thème de ce film médiocre qui s'enlise, après le "changement d'état" du couple amoureux, à comparer avec la situation précédente. Ceci d'une manière tellement insistante, lourde et illogique que même la revue "Cinéma" -qui en d'autres occasions est le fidèle porte-paroles des services de publicité soupçonne le réalisateur d'ébriété.
• LE SANG DU DRAGON (1984)
  Critique CF

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  Un mélange disparate de violence, de sadisme et de sexe, pour une production sans intérêt dont il est vrai que l'on n'y comprend souvent que couic.
• LA CONTREBASSE (1963)
  Critique CF

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  Comédie plaisante où le personnage principal est l'étui d'une contrebasse. Rocambolesque des situations comiques et originales.
• L'ARCHE DES FOUS (1989)
  Critique CF

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  Note : 13/20

  Parabole grinçante sur l'état socialiste aux images saisissantes, mais au discours souvent hermétique.
• SANS PEUR ET SANS REPROCHE (1988)
  Critique CF

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  Troisième réalisation de Gerard Jugnot, qui utilise l'humour acerbe pour donner une vision différente de l'Histoire de France que celle issues des manuels scolaires. Le réalisateur ne réussit pas toujours à rester à la hauteur de sa tache, mais ne démérite point.
• UN TYPE BIEN (1990)
  Critique CF

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  Note : 11/20

  Un premier film dont la tonalité rompt avec ce que nous propose d'habitude les jeunes réalisateurs français. L'ensemble n'est pas sans failles mais force la sympathie ...
• ALPHABET CITY (1984)
  Critique CF

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  Note : 13/20

  Une série B habilement ficelée, sombre et désespérée qui se voit avec intérêt.
• LE WAGON-LIT DE LA MORT (1990)
  Critique CF

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  Note : 7/20

  Aussitôt vu, aussitôt oublié.
• TANT QU'ON A LA SANTE (1965)
  Critique CF

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  Note : 16/20

  L'absurdité du quotidien, croqué dans une demi-douzaine de sketches fort suaves,
  par un metteur en scène génial, pour un film étonnant.
• LE DERNIER VOL DE L'ARCHE DE NOE (1980)
  Critique CF

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  Décidément, les productions Walt Disney se spécialisent de plus en plus souvent dans les films niais au possible et d'une grande indigence.
• PILGRIMAGE (1972)
  Critique CF

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  Film romantique et allégorique et œuvre d'avant-garde, tournée aux Etats-Unis, par un ancien décorateur d'opéra qui a travaillé entre autres pour le Covent Garden. Vision exacerbée d'une certaine décadence entre beauté gratuite et pourtant évidente et symbolisme outrancier jusqu'au délire visuel.
• LA LÉGION DE L'AIGLE (1989)
  Critique CF

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  Rien que des tonnes de banalité, dans cette médiocre production sans aucun intérêt.
• L'AMERIQUE INTERDITE (1977)
  Critique CF

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  Pseudo-documentaire à l'authenticité douteuse sur certains milieux plus ou moins interlopes de l'Amérique contemporaine. Sexe, violence, insolite, répugnant et racoleur.
• DRAGON FORCE (1982)
  Critique CF

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  Production de série, sans intérêt particulier que l'on aura vite oubliée.
• OPERATION GREEN ICE (1982)
  Critique CF

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  Encore une resucée des "Aventuriers de l'arche perdue", version mineure d'un genre qui a produit bien des avatars insignifiants et ringards.
• LA CHAMBRE DE L'EVEQUE (1977)
  Critique CF

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  Note : 9/20

  Du sous-Risi, minable, ridicule et vulgaire.
• LES FAUBOURGS DE NEW YORK (1933)
  Critique CF

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  Note : 17/20

  Voilà du cinéma de qualité ! Hélas, qui connaît ce film merveilleux.
• KOENIGSMARK (1935)
  Critique CF

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  Un grand duc, une jolie princesse, un beau-frère séduisant. Une trame romantique à connotation historique qui transpire le renfermé mélodramatique et le réchauffé sentimental.
• LE CHEMIN PERDU (1979)
  Critique CF

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  Note : 16/20

  Une vision particulière de l'enfance, emprunté de beaucoup d'émotion et de finesse, avec le merveilleux Charles Vanel en grand-père attendrissant.
• FRANCOIS D'ASSISE (1961)
  Critique CF

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  Une nouvelle version bâclée de la vie de Saint François d'Assise qui est bien loin de valoir l'excellente adaptation de Roberto Rossellini.
• LA DIXIEME FEMME DE BARBE-BLEUE (1960)
  Critique CF

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  Une version ennuyeuse et très plate de l'histoire de Landru tournée par le frère de Billy Wilder.
• L'ATLANTIDE (1961)
  Critique CF

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  A voir pour le plaisir de voir ou revoir une réalisation du grand Edgar George Ulmer.
• CENDRILLON AUX GRANDS PIEDS (1960)
  Critique CF

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  Note : 17/20

  Etonnante et subtile version "masculine", merveilleusement transposée, du célèbre conte de Perrault. Pour les amateurs du grand Jerry Lewis. Nous, on en redemande.
• LES DÉMONS DE MINUIT (1961)
  Critique CF

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  Insignifiant et morne comme une journée sans soleil.
• FAR WEST (1973)
  Critique CF

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  Une évocation poétique du Far West pour grandes personnes restées enfants.
• LES FELINES (1972)
  Critique CF

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  Note : 7/20

  Une sombre histoire de séduction entre femmes.... Pas de quoi se déranger.
• LE MESSIE SAUVAGE (1972)
  Critique CF

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  Note : 13/20

  Brillamment mis en scène par Ken Russell.
• WHAT A FLASH (1971)
  Critique CF

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  Au départ, un psychodrame collectif, orienté sur la notion de créativité individuelle ou collective et à l'arrivée, une intéressante étude sur l'enjeu de "la caméra" sur l'inhibition ou l'exhibition artistique, scénique. Une expérience presque unique (dans le cinéma français) qui pose les questions profondes, essentielles du jeu (je), du cinéma en tant qu'authenticité, représentation et virtuel épiphénomène d'une recherche, d'une époque.
• LES HORREURS DE FRANKENSTEIN (1970)
  Critique CF

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  Note : 9/20

  Une nouvelle version du mythe de Frankenstein qui ne se montre pas vraiment convaincante.
• MOTHER'S DAY (1980)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  Film énorme, sanglant, sadique et fortement humoristique (humour noir bien sûr).
• LES GRIFFES DU LION (1973)
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  Une pellicule et une histoire bien vieillottes finalement.
• ALICE AU PAYS DES MERVEILLES (1933)
  Critique CF

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  Note : 16/20

  Le célèbre conte pour enfants mis en scène avec talent et humour
  par un solide metteur en scène un peu méconnu par le "grand" public.
• LES AS D'OXFORD (1940)
  Critique CF

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  Note : 18/20

  Nos deux compères à la célèbre université anglaise. Irrésistible !
• LE DENTISTE (1932)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  Une comédie loufoque et géniale où se déchaîne le grand W.C. Fields en dentiste farfelu.
• LA BIBLE (1966)
  Critique CF

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  Note : 11/20

  L'évocation des vingt-deux premiers chapitres de la Genèse depuis la création de la Terre jusqu'au sacrifice d'Abraham, dans une œuvre bien pompeuse s'étalant sur presque trois heures.
• LE GRAND CARNAVAL (1983)
  Critique CF

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  Note : 9/20

  Œuvre relativement creuse même si l'étude du microcosme est souvent sympathique et que bien des acteurs reconnus font une prestation des plus acceptables. Autant jouer la vision du film à pile ou face.
• STAVISKY (1973)
  Critique CF

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  Note : 10/20

  Au premier degré, une biographie romancée du célèbre escroc des années 30, Alexandre Stavisky. Au second degré, une partition désenchantée et rigoureuse sur la corruption, la politique et la mort. Finalement, un film mineur dans l'oeuvre d'Alain Resnais, compte-tenu des inoubliables chefs-d'oeuvre tels "Hiroshima mon amour" ou "Providence".
• L'HOPITAL (1971)
  Critique CF

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  Une solide tranche de rire pour rester en bonne santé.

Notes de Jean-Claude
(par valeur décroissante)