Au début des années 1950, Edward H. Wood junior, un cinéphile enthousiaste, rêve de passer à la réalisation. Lorsqu'il entend parler d'un projet sur la vie de Christine Jorgensen, célèbre transsexuel, il contacte le producteur et réussit à la convaincre de lui confier le film, en lui avouant que depuis sa plus tendre enfance, il s'habille en femme. Il réalise "Glen or Glenda" et commence une carrière jalonnée des pires "navets" imaginables dans lesquels apparaissent son grand ami, Bela Lugosi...
>>> Un travail estimable et une éblouissante prestation de Martin Landau...
Bibliographie
- Fiche de Monsieur Cinéma
- Cinéma numéro 556
- Saison Cinématographique 1995
- Film Français numéros 2560-2558
- Première numéros 219-220
- Studio numéros 99-100/1995
- Positif numéros 406-412
- Positif H.S. mai 2007
- Cahiers du Cinéma numéro 492
- Télérama numéro 2371
- Inrock du 15/06/1995
- Nouvel Observateur numéros 1569-1593
- Le Canard Enchaîné du 21/06/1995
- Libération des 28/05 et 22/06/1995
- Le Monde des 28/05 et 23/06/1995
- L'Express numéros 2289-2294
- Mad Movies numéro 91
Critiques (Public)
Un Martin Landau absolument formidable, un Johny Depp au meilleur de sa forme, une histoire elle aussi superbe qui ne peut que ravir les cinéphiles. A voir absolument. NORMAN
ED WOOD est le plus beau film sur la magie du cinéma. Moins génial qu'Edward et Batman Returns, mais toujours largement au-dessus du reste de la production. Tim Burton est LE génie de la fin du siècle. Le meilleur réalisateur qui parle du plus mauvais cela ne peut donner qu'un film parfait, un hymne à la magie, au rêve. Burton sait si bien créer l'émotion que la pauvre existence d'Ed Wood devient un parcours bouleversant et exemplaire. Le véritable alchimiste de la pellicule qu'est le grand Tim transforme tout ce qu'il touche en or fin. Mais que restera-t-il aux autres ??? (Ed Wood HimSelf)