"Qu'il me soit pardonné : je n'aime pas le Boléro de Maurice Ravel. C'est ainsi. Mais je ne puis m'empêcher de penser, avec émotion, à cet homme qui, pendant une quinzaine de minutes, va, avec une application infinie, frapper ces mêmes coups sans cesse répétés sur la caisse claire qui se trouve devant lui : le batteur du Boléro. Il est, méconnu, mais superbe, le véritable héros .....
                                                       (d'après le matériel de presse)
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