CEUX QUI M'AIMENT PRENDRONT LE TRAIN - 1998

Titre VF CEUX QUI M'AIMENT PRENDRONT LE TRAIN
Titre VO
Année de réalisation 1998
Nationalité France
Durée 2h03
Genre DRAME PSYCHOLOGIQUE
Notation 16
Date de sortie en France 15/08/1998
Thème(s)
Trains et gares (Cinéma français)
Homosexualité féminine (Cinéma français)
Travestis(sement) (Cinéma français)
Cimetières (tous pays confondus)
Sida (Cinéma français)
Réalisateur(s)
CHEREAU Patrice
Chef(s) Opérateur(s)
GAUTIER Eric
Musique
Renseignements complémentaires
Scénario : Danièle Thompson,
Patrice Chereau et Pierre Trividic .....
d'après une idée originale de Danièle Thompson .....
Produit par Charles Gassot
Distribution : Bac Film

Visa d'exploitation : 89 207

Nota :

- César 1998 de la meilleure actrice de second rôle pour Dominique Blanc .....

- César du meilleur réalisateur

- César de la meilleure photo
Acteurs
GREGGORY Pascal
BRUNI TEDESCHI Valéria
BERLING Charles
TRINTIGNANT Jean-Louis
TODESCHINI Bruno
JACQUES Sylvain
PEREZ Vincent
ZEM Roschdy
BLANC Dominique
SCHILTZ Delphine
COGAN Natan
DAËMS Marie
NEUWIRTH Chantal
DE PERETTI Thierry
GOURMET Olivier
CANET Guillaume
BRUNET Geneviève
BRICE Didier
Résumé

Jean-Baptiste Emmerich, artiste peintre, vient de mourir. Par testament, il a émis le souhait d'être inhumé à Limoges. Pour son enterrement, sa famille, ses proches, ses relations se rendent ainsi à son dernier rendez-vous. Ce sera l'occasion, pour certains de régler des comptes litigieux passés, pour d'autres de se rapprocher ou de s'éloigner et pour tous, un moment intense et "privilégié" pour se découvrir, se dé(livrer)...

>>> L'oeuvre la plus maîtrisé (à ce jour) de Patrice Chereau, décidément bien inspiré, bien entouré, dont le ballet des corps, des visages et des âmes confine à la jubilation.

Bibliographie
- Fiche de Monsieur Cinéma
- Cahiers du Cinéma numéro 524
Critiques (Public)
Direction impeccable, caméra virtuose, constructions élaborées, mais toujours fluides. Tout cela est excellent. Seulement la vie ça ne se passe pas vraiment comme çà. Les couples ne sont pas en perpétuels hurlements. Il n'y a pas un homosexuel et un drogué par famille. On ne pleure pas, on ne hurle pas, on ne rit pas si fort. Finalement, la vie que nous montre le film, c'est une espèce de reflet outrancier de la nôtre, qui va surement mieux avec une mise en scène exubérante, mais qui ne nous touche pas vraiment à force de "scènes" et de coups d'éclats trop faciles et trop peu "vrais" (voir la tirade de Charles Berling à l'enterrement) N.R.