En compagnie de deux autres prisonniers, le dénommé Tim vient de s'eévader. Il fait la connaissance de Georgia, une ancienne compagne d'un truand notoire, recherchée par la police et avec laquelle commence une violente et sensuelle liaison. A deux, il projette de dévaliser un transport de fonds, dans une petite localité jurassienne...
>>> Un "Mocky" décevant, à la provocation facile et bêtement vulgaire, qui joue "médiocrement la carte du "cul" là où l'on attendait de l'érotisme torride...
Bibliographie
- Fiche de Monsieur Cinéma
- Saison Cinématographique 1990
- Première numéro 159
- Cahiers du Cinéma numéro 433
- Télérama numéros 2104-2153
- Positif numéro 352
Critiques (Public)
Mocky fait certainement les nanars les plus sympas (parce que les moins prétentieux) du cinéma français. La barque prend l'eau de tous bords, les rames pagaient dans une joyeuse anarchie, mais Mocky et son équipe se sont tellement amusés qu'il en reste toujours quelque chose sur l'écran. C'est donc rocambolesque, frivole, kitch, nymphomane, "demovegou", mais quelque part le cinéma y retrouve ses origines : un merveilleux jouet pour grands enfants (D.W.Graphite)