Nous sommes en l'an 40000 en compagnie de l'astronaute Barbarella...
>>> Début de l'inexorable déclin de Roger Vadim qui a réalisé une oeuvre de science-fiction d'opérette. Mis à part le luxe de la mise en scène et l'habileté des trucages, le film ne présente aucune surprise et frise l'ennui mortel. Le voyage n'est rendu agréable que par la sculpturale Jane Fonda, ici, reine du faux clinquant et de l'esbroufe. C'est kitsch au possible, ringard et presque drôle...
Bibliographie
- Positif numéro 102
- Fiche de Monsieur Cinéma
- Dossiers Art et Essai numéro 49