Scénario : François Truffaut,
Bernard Revon et Claude de Givray .....
Chanson de Charles Trenet : "Que reste-t-il de nos amours"
Distribution : Artistes Associés
Deuxième long métrage de la "saga" d'Antoine Doinel qui, réformé pour instabilité caractérielle, rentre dans la vie "professionnelle" par la porte des petits travaux à la semaine. Il exercera les emplois de veilleur de nuit, apprenti détective privé, manutentionnaire dans un magasin de chaussures et réparateur de TV. Ses amours sont tout aussi chaotiques, entre Christine, sa patronne et les prostituées de passage...
>>> Excellents acteurs pour un scénario somme toute fort mièvre...
Bibliographie
- Positif numéro 99
- Fiche de Monsieur Cinéma
- Cahiers du Cinéma numéro 205
Critiques (Public)
Le film est sympathique. Claude Jade est une révélation, Harry-Max, Delphine Seyrig et André Falcon sont très bien.
Mais pourquoi Jean-Pierre Léaud ? Fait rarissime dans le cinéma, un acteur enfant très doué (La Tour prend garde, Les 400 coups)devient un très mauvais acteur adulte (D'habitude c'est l'inverse) .
Peut être parce que Truffaut, acteur aussi mauvais y a vu son double.
Mais bon, Léaud aussi gentil qu'il soit fait preuve d'un culte usurpé.
Il faut arrêter ce phénomène de mode ridicule.
Sa mère, Jacqueline Pierreux, par exemple qui n'a joué que dans des séries B par exemple était très bien dans l'emploi qu'on lui donnait (même si elle valait mieux).
Arrêtons un peu (sauf exception de tirer sur les acteurs prisonniers de leur image).
