LES ANNEES SANDWICHES - 1988

Titre VF LES ANNEES SANDWICHES
Titre VO
Année de réalisation 1988
Nationalité France
Durée 1h45
Genre COMEDIE DRAMATIQUE
Notation 14
Date de sortie en France 13/04/1988
Thème(s)
Juifs (Cinéma français)
Réalisateur(s)
BOUTRON Pierre
Chef(s) Opérateur(s)
BRABANT Dominique
Musique
ROMANELLI Roland
Renseignements complémentaires
Scénario et dialogues : Pierre Boutron
et Jean-Claude Grumberg .....
d'après le roman de Serge Lentz
Distribution : UGC
Acteurs
PSZONIAK Wojciech
LANGMANN Thomas
GIRAUDI Nicolas
CORNILLAC Clovis
AUMONT Michel
CHESNAIS Patrick
ARIE Hélène
KHORSAND Philippe
DUMAS Roger
PERROT François
LONDICHE Pierre
LAVANANT Dominique
MALVOISIN Patricia
GRUMBERG Jean-Claude
DUBOIS Nicole
SIMONNET Michele
BRIGAUD Philippe
EVANOFF Lorraine
THUILLIER Luc
FLEPP Sylvie
KINDT Fernand
ASHFORD Clement
BORLANT Gérard
BARTHOLOMEUS Etienne
CHEMINAT Madeleine
DE LA BRUNELIERE Jacques
DEGENNE Juliette
DESAILLY Nicole
GILBERT Arlette
GRUMBERG Jacqueline
HABER André
JOHNSON Bruce
LAUGIER Claude
MERCIER Annie
REVILLARD François
ROUSSELOT Jacques
THIEUX Daniel
SIPPERNAY Francisca
PICARD Dorothee
Résumé

Le petit Victor, âgé de quinze ans, vient de débarquer à Paris, en ce mois de juillet 1947, en fugue / fuite du Midi de la France où il avait été place après la disparition de ses parents, déportés après la rafle du Vel d'Hiv. Il fait la connaissance d'un adolescent de son âge, Félix, qui l'aide à s'orienter dans la capitale. Plus tard, un sympathique brocanteur, d'origine juive comme lui (excellent Pszoniak) l'engage dans sa boutique...

>>> Pour un premier film, c'est vraiment une réussite des plus probantes...

Bibliographie
- Fiche de Monsieur Cinéma
Critiques (Public)
"Les années sandwiches" est certainement l'un des films les plus émouvants de la saison. Non seulement pour son sujet ou pour le charme de la nostalgie, mais surtout pour sa simplicité, sa discrétion, sa pudeur et sa tendresse. Ses protagonistes, Thomas Langmann (un petit Peter Lorre !), Nicolas Giraudi etun formidable Wojtek Pszoniak, ont su trouver le ton juste, un rayonnement qui donne à cette chronique une beauté vraie. D.W. GRAPHITE