LA RUE SANS LOI - 1950

Titre VF LA RUE SANS LOI
Titre VO
Année de réalisation 1950
Nationalité France
Durée 1h20
Genre COMEDIE DRAMATIQUE
Notation
Date de sortie en France 01/12/1950
Thème(s)
Nanisme (tous pays confondus)
Réalisateur(s)
GIBAUD Marcel
Chef(s) Opérateur(s)
DANTAN André
Musique
LANDOWSKI Marcel
Renseignements complémentaires
Scénario et dialogues : Dubout
et Jean Halain .....
Direction technique : Léon Mathot
Distribution : Filmsonor

Visa d'exploitation : 9460
Acteurs
DEMANGE Paul
DALBAN Max
NATTIER Nathalie
GABRIELLO André
POIVRE Annette
DINAN Albert
GILBERT Fernand
DE FUNES Louis
DESMARE Roger
AVRIL Mag
SARDOU Jackie
ANDRIEUX Luc
PAULAIS Georges
MEROVEE Marcel
SYLVAIN Jean
NICOT Claude
AMEDEE
CLAREL Pierre
YVERNES Eugène
BOUCHIE Jean
PAULEON Léon
DESCHAMPS Hubert
ANYS Georgette
GABRIELLO Suzanne
CORDIER Jean
PASCAL René
PRADEL André
Résumé

Quelques incroyables personnages hauts en couleur et en gueule, qui fréquentent assidument la "Rue Sans Loi" : Sparadra, un voleur à la tire, le nain Anatole, un géant, la comtesse de Latrille, le timide et gentil Oscar, une séduisante vamp et quelques autres du même calibre .....

Bibliographie
- Fiche de Monsieur Cinéma
Critiques (Public)
S’il n’y avait eu, dans ‘La Rue sans loi’, la présence - pourtant très minime - de Louis de Funès, jamais, ô grand jamais, nous n’aurions eu l’occasion de retrouver cet incommensurable navet, signé Marcel Gibaud. Ce dernier d’ailleurs, hormis quelques courts métrages, n’aura laissé la moindre trace dans l’histoire du cinéma. C’est peut-être sévère, mais cette comédie d’une heure-vingt (et non d’une heure quarante tel que le Dvd et certains sites le prétendent) de 1950 est véritablement lamentable à re(voir). L’histoire de ce groupe qui fait régner la loi dans un quartier parisien, et qui projette un hold-up, ne tient jamais la route. Mal vieilli me diriez-vous ? Se remettre dans le contexte de l’époque ? Non, je réfute tout cela, même le public bien moins exigeant de l’époque n’a dû, n’a pu apprécier cette suite de gags insipides. Et puis, de quand date Molière ! Un seul mot pour qualifier ce film tourné dans un espace apparent de huit mètres sur cinq : pénible. L’univers du célèbre caricaturiste et affichiste Albert Dubout – le père spirituel de Wolinski - avait pourtant quelque chose de très particulier (voir d’ailleurs www.dubout.fr). Mais art littéraire et art cinématographique se marient parfois mal, le film se soldant ainsi par un cuisant échec. Quant à De Funès, emmitouflé dans son interminable barbe, violoncelliste pour l’occasion, il parvient juste à anticiper quelques mimiques qui feront sa gloire, bien plus tard.