LA REINE MARGOT - 1993

Titre VF LA REINE MARGOT
Titre VO Die Bartholomäusnacht
Année de réalisation 1993
Nationalité France / Allemagne / Italie
Durée 2h39
Genre DRAME HISTORIQUE
Notation 15
Date de sortie en France 13/05/1994
Thème(s)
Aristocratie, noblesse et royauté (Cinéma français)
Inceste (Cinéma français)
Protestantisme
Dumas (Alexandre) -père et fils-
Poisons (Cinéma français)
Réalisateur(s)
CHEREAU Patrice
Chef(s) Opérateur(s)
ROUSSELOT Philippe
Musique
BREGOVIC Goran
Renseignements complémentaires
Scénario : Patrice Chereau
et Danièle Thompson .....
d'après le roman d'Alexandre Dumas
Distribution : AMLF

Visa d'exploitation : 82 677

Nota :

- César 94 de la Meilleure Actrice pour Isabelle Adjani

- César du Meilleur Second rôle Féminin pour Virna Lisi

- César du Meilleur Second Rôle Masculin pour Jean-Hugues Anglade

- César des Meilleurs Costumes

- César de la Meilleure Photo
Acteurs
ADJANI Isabelle
AUTEUIL Daniel
LISI Virna
ANGLADE Jean-Hugues
PEREZ Vincent
BLANC Dominique
GREGGORY Pascal
AMENDOLA Claudio
BOSE Miguel
ARGENTO Asia
RASSAM Julien
KRETSCHMANN Thomas
GUAETTA Albano
BRIALY Jean-Claude
LEYSEN Johan
ECOFFEY Jean-Philippe
MARQUAIS Michelle
LYSSEWSKI Dörte
MARSAC Laure
NITZER Alexis
SCHROEDER Barbet
SALINGER Emmanuel
STEHLE Jean-Marc
TAUSIG Otto
TODESCHINI Bruno
TOLSTY Vladimir
VERLEY Bernard
WILDGRUBER Ulrich
ARNAL Laurent
BERLIOZ Gerard
BERNARD Christophe
BLICHARZ Marian
BRETON Daniel
BRILLOIT Pierre
CAILLAUD Cécile
BRUNI TEDESCHI Valéria
CITTI Marc
COLIN Grégoire
DUJARDIN Erwan
DOUCHET Jean
DUCLOS Philippe
FABAS Dominique
GOLOVINE Marina
KARGOL Zygmunt
LOPEZ Carlos
MASSARO Orazio
MASSINE Roman
NELSON Charly
NISSILE Bernard
FEROLETO François
ROTH Julie-Anne
FAIVRE Charlotte
TAVERNIER Jean-Michel
TOUSSAINT Beatrice
LABATI Antonio
VAUDAINE Mélanie
DEBACKER Didier
VAUDE Nicolas
PHILIPSON Jacques
DE FOUGEROLLES Hélène
GASPAR Luis
GAUTIER Christophe
GOLGEVIT Yann
Résumé

Août 1572. Afin d'apaiser un pays dévasté par les intestines guerres de religion, Catherine de Médicis, mère du Roi Charles IX, organise le mariage de sa fille, Marguerite de Valois, catholique, avec Henri de Navarre, protestant. Quelques jours plus tard a lieu le terrible massacre de la Saint-Barthélemy...

>>> Fastueuse production mise en scène de main de maître par Chéreau et parfaitement interprétée par une pléiade de prestigieux comédiens. Pleine de "bruit et de fureur" cette Margot est incontournable...

Bibliographie
- Saison Cinématographique 1995
- Film Français numéros 2505-2565
- Studio numéro 102
- Positif numéros 402-413
- Cahiers du Cinéma numéros 481-493
- Télérama numéro 2376
- Inrock du 19 juillet 1995
- Nouvel Observateur numéro 1603
- L'Express numéro 2299
- Le Point numéro 1193
- Le Canard Enchaîné du 26 juillet 1995
- Le Monde du 27 juillet 1995
- Libération du 26 juillet 1995
Critiques (Public)
Fable sanglante qui ne vaut que par l'interprétation démesurée d'une Adjani magnifique face à des acteurs à la limite du grotesque. Virna Lisi y est a proprement parlé poussive et exagérée. Son prix d'interprétation à Cannes n'est-il pas le reflet de la jalousie d'une autre Catherine encore plus jalouse et plus mauvaise que celle citée ci-dessus? La perfidie voulait qu'Isabelle Adjani descende de son trône. Par ce fait elle grimpe plus haut encore sur cette Olympe où seuls les vrais dieux ont une place. Cela étant, il faudrait donner à Madame Deneuve un prix d'interprétation avant qu'elle ne commette d'autres méfaits.

Ce film est beaucoup trop sanglant à mon goût. La plus belle c'est Laure Marsac ..

Magnifique; sublime; superbe; fabuleux; Isabelle Adjani, fragile et passionnée. Virna Lisi, cruelle. Quand à Daniel Auteuil, Vincent Perez, et Jean-Hugues Anglade, ils interprétaient super bien leurs rôles qui ne pouvaient être distribues autrement. Mais pour en revenir à la merveilleuse Isabelle, rien ni personne ne peut la surpasser ..... ELISE MILIANTI

Chéreau trahit l'oeuvre de Dumas pour une mise en scène shakespearienne. Pourquoi pas. Les personnages, la période s'y prêtent... Mais le grand spectacle, l'opulence, les stars cachent un cruel manque de profondeur et surtout d'émotion. AXEL.