COMME UN CHEVEU SUR LA SOUPE - 1956

Titre VF COMME UN CHEVEU SUR LA SOUPE
Titre VO
Année de réalisation 1956
Nationalité France
Durée 1h29
Genre COMEDIE DRAMATIQUE
Notation
Date de sortie en France 23/08/1957
Thème(s)
Verne (Jules)
Suicide (Cinéma français)
Tueurs à gages (tous pays confondus)
Réalisateur(s)
REGAMEY Maurice
Chef(s) Opérateur(s)
COTTERET Paul
Musique
VAN PARYS Georges
Renseignements complémentaires
Scénario : Jean Redon,
Yvan Audouard et Maurice Regamey .....
librement inspiré du roman de Jules Verne :
"Les tribulations d'un Chinois en Chine" .....
Cadrage : Guy Suzuki
Montage : Gilbert Natot
Assistant-réalisateur : Jacques Besnard
Distribution : Pathé Consortium

Visa d'exploitation : 18 889
Acteurs
DE FUNES Louis
ADAM Noelle
MANUEL Robert
JOUANNEAU Jacques
TALLIER Nadine
DUVALEIX Christian
MERY Christian
MASSIS Louis
CAMPION Léo
STEPHEN Pierre
RASIMI Eddy
ANDRE Sabine
BERTHIER Simone
DALBAN Max
DESCHAMPS Hubert
DORIS Pierre
ALBERT-MICHEL
MIRAT Pierre
NYST Philippe
OZY Mireille
REGNIER Bernard
SAGET Roger
TORNADE Pierre
DECROUX Etienne
LAMAR Daniele
MOUSTACHE
LE BEAL Robert
CASSEL Jean-Pierre
HELL René
RIVIERE Jean-Marie
BISCIGLIA Paul
ROUSSEAU Louisette
PAILLETTE Laure
GOBIN Gabriel
GROSSAC Gib
DORLIS Géo
MAFFRE Julien
LECUYER Roger
THOMASS Michel
MERCIER Robert
MAGRE Judith
BERNIER Marcel
LALANNE Louis
CAPELIER Margot
ANDRIEUX Luc
GROMOFF Grégoire
DUNCAN Pierre
BECK Billy
DESAGNEAUX Lucien
BALLA Jim
DEJEAN Max
SOLAR Silvia
REGAMEY Maurice
MUSSON Bernard
Résumé

Le compositeur, Pierre Cousin, rencontre la chanteuse Caroline dans des circonstances désespérées : la belle tentait de se suicider. La presse s'empare de l'affaire. Pour les deux artistes, c'est la fin d'un long tunnel et le début de la célébrité .....

Bibliographie
- Fiche de Monsieur Cinéma
Critiques (Public)
"Tu ressembles à la vie, comme la vie te ressemble" Quel film sympa que ce "Comme un cheveu sur la soupe". Les tribulations rocambolesques de tout un petit monde populaire, farfelu, lunaire et jamais méchant. De doux dingues bien sympathiques moulés dans des situations inconcevables de nos jours. Lâchés au gré de leurs délires, dans un Paris éventré, sombre et crasseux ne privant nullement ses occupants d'une communication conséquente et festive. La nostalgie de toute une faune simple et décalée capable de vibrer dans une ville où l'on a encore quelque chose à partager en commun. Bravo JIPI